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    Le Japon de nuit (ville de Tohyo)

    J'ai crée cet article pour vous faire partager mes instants passé au Japon et ceci a pour but de vous faire connaitre un peu mieux ce pays très joli, mais il y a des choses que, si vous êtes touriste un jour, à savoir qu'il y a des choses insolites voyez par vous même en lisant mes articles.

    Les métiers insolites de nuit

    Suivant l'âge et la moralité de ceux qui les exercent

    Vendeuses de fleurs, colporteurs qui vous propose à la sauvette des montres fraudées, ou des photos pornographiques, marchant de marrons grillés qui brûlent leur brasero, les bagettes usagées des restaurants alentour,

    hommes et femmes qui vous tendent un prospectus et vous glisse à l'oreille: "Go there, nice girls, small money", adepte d'une nouvelle religion ou jeunes militants politique qui vous invite à signer une petition; Ah! ces petits malins qui vous entraînent vers un hôtel de passe sous pretexte d'aller y écouter des disques de jazz soi-disant introuvables; prostituées qui se déhanchent à faire damner tous les saints, tout en évaluant à la fois les touristes pour en tire profit.Le comble c'est que de jeunes hommes font également le trottoir, pour faire valoir l'égalité des sexes au Japon.Ces jeunes hommes ne se contentent pas de racoler, ils se vendent aux femmes (trop) mûres, celles qui confessent volontier leurs quarante printemps, le Japon bouge les nuits, Hey! oui!!

                     

     Yoru no cho

    A tokyo il y a un "Qeen Bee", nom d'un dancing géant de la capitale, une centaines de jeunes femmes, assisent autour d'un bar circulaire, attendre d'être désignée pour escortée les nouveaux arrivants jusqu'à la table ou elles leur offriront le charme d'une compagnie et d'une conversation s'crupuleusement tarifiée. Ce sont des hôtesses comme on trouve, à des degrés divers de moralité, dans chacun des 50 mille dancings, bars, Night club, ou salon de travail supplémentaire ou beaucoup d'étudiantes, vendeuses, dactylos, veuves au pension insuffisante viennent le soir comme Yoru no cho (papillon de nuit) afin d'arrondir leur budget. Ces métiers secondaires étant monnaie courante au Japon, une hôtesse "occasionnnelle ne se concidère nulement comme entraîneuse ou femme de mauvaise famille, mais se compare plutôt à une demoiselle de compagnie, une espèce de confidente. Les lieux de rencontre sont des salons cossus ou l'on côtoie un publique élégant des vedettes, des ministres, des écrivains renommés.

                       

    Maneki neko

    Chat de porcelaine blanche au ventre orné d'une anciènne pièce de monnaie d'or, assis sur l'arrière train, la patte levée en signe d'invitation, maneki neko est la statue de bienvenue au Japon, on la trouve un peu de partout.

                 

    La vistavision

    La chirurgie esthetique au Japon connait un fort succès, installés dans les bas quartiers de la ville, des cliniques de grand luxe accueillant à prix d'or une clientèle venu du monde entier. Ils transforment chaques jours des laidrons en reine de beauté, redressent les gorges affaissés, allongent les nez camus. Mais leurs 2 traitements les plus demandé sont la "vistavision" qui consiste à débrider les yeux, (complexe des japonaises) et le "renouveau prénuptial" qui redonne une virginité de bon aloi à celles dont l'hymen aurait subi quelques écorchures.

                  

     

     Les Japonais

    Les Japonais se penchent avec passion sur la France dont ils admirent le génie créateur, l'individualisme et la gastronomie Française. Cet ensemble de qualités et de péchés mignons plaisent follement à nos lointains amis, les Français sont accueillis là-bas comme des rois enfin ça dépend de qui vous reçois.

    Noriko avec une de ses collègue dans un salon de thé.

    Personnellement, je fus accueillis par une amie Japonaise que j'ai rencontré en France, lui faisant voir tous les plus beaux coins de France, Noriko est son prénom fut la même chose pour moi au Japon, Un Japonais doit toujours vous rendre le bien dont lui vous avez donné, c'est leur tradition.Tout ce je sais sur le Japon, sur la langue et ce que je vous écris, c'est grace à elle et à Mimi ma professeur d'université de condé à Lyon, et mes recherches personnelles.Si vous partez seul faites attention aux arnaques, mais si vous avez la chance d'avoir un ou une ami(e) au Japon faites lui confiance.Les Japonais sont très étonnés de voir un étranger parler leur langue à la perfection. Pourquoi? parce qu'ils croivent qu'aucun étranger ne saurait capable de parler leur langue. Qui est très difficile, mais comme je dis toujours "Quand on aime il n'y a pas d'obstacles."

                

     

     Monnaie Japonaise

    1 Euro vaut 161,149 Yen

                     

     

      Une éducation rigoureuse

    Malgré la colère des lignes de protection de l'enfance et les nombreux interdits frappant cette pratique ancestrale. Bien des familles pauvres continuent à "négocier " leur fillette avec l'okami-san (proprietaire d'une maison de thé, ou d'un restaurant de luxe ou se produisent des geisha." Patron rusé qui les aidera à faire fortune pour y trouver elle même son interet.Si la candidate plait et semble possèder les qualités mentales et physiques nécessaires, les parents recevront une somme assez importante à titre d'avance sur les gains futurs de l'enfant dont l'éducation et l'entretien seront prit en charge par "les acheteurs". D'autre exercent ce métier de mère en fille depuis des générations, créant de la sorte de réelles dynasties d'ou son issu les plus célèbres geisha.

    Cette formation commence vers 5ans, 6ans, pour le programme habituel d'une école primaire auquel vient s'ajouter le dessin, musique, chant, pantomine, diction, danse classique, cérémonie du thé et de l'arangement floral. Vers l'age de 10ans, les gamines réalisent que leur rôle ici-bas et avant tout de plaire aux hommes, il est difficile d'être une courtisane.Les étrangers, comme bien les Japonais de la jeune génération, trouvent les geisha fascinantes la première fois, ennuyeuses, dés la seconde expérience, insuportables si des obligations sociales leurs imposent des fréquentes résidives.

                

    Le salon automobile de Tokyo 2005: un paradis

    Cette charmante Hotesse Japonaise court-vêtue Rôdant autour d'une Mitsubishi à pour but d'attirer les attentions des gens sur la voiture bien entendu,  des  cocktails mondains sur les stands des constructeurs, les espions d'autres marques automobiles sont présent pour voir un peu les idées qui pourront avoir pour essayer de faire plus fort, et ou de grapiller quelques secrets technologiques. Chez Nissan, un autre individu mitraille chaque centimètre carré d'une des voitures exposées, depuis le capot jusqu'au bas des portières, puis s'accroupit pour prendre des clichés détaillés de l'arrière du véhicule. Non loin, trois "visiteurs" s'intéressent longuement au volant d'un nouveau modèle de luxe. Et même si aucun constructeur ou équipementier chinois ne s'expose au Tokyo Motor Show, beaucoup sont probablement présents incognito. Indiens et Sud-Coréens ne sont pas en reste.

    L'espionnage dans les salons tels que celui de Tokyo est une pratique courante Mais les Japonais font exactement la même chose à Francfort ou aux Etats-Unis concurance. Il est de notoriété publique que la plupart des constructeurs achètent les voitures de leurs concurrents pour les désosser, les analyser et éventuellement les copier.

    Mais espionner dans les salons est aussi une pratique intéressante.

    "L'agencement des suspensions, les tuyaux et les autres entrailles peuvent fournir de précieuses informations. En examinant l'intérieur du ventre d'un 'concept-car', vous pouvez juger s'il s'agit d'un tigre de papier ou bien s'il est sur le point de devenir un modèle commercial

    Les véhicules "sensibles" sont souvent exposés sur des estrades élevées ou d'autres endroits voyants, et à proximité des "équipes d'accueil" du constructeur qui peuvent ainsi toujours garder un oeil dessus.

    Un sol brillant qui reflète les flashes des appareils photo des fans de tuning à noter que la mitsubishi est la marque au Japon la plus vendu devant nissan!

    Il y a des concurant qui sont capable du pire au salon automobile de Tokyo,Les pires peuvent arracher la tapisserie d'un coffre pour voir ce qu'il y a en dessous, subtiliser des pièces ou gratter les nouvelles variétés de peinture.

    Selon Kazuhito Sasaki, analyste au Centre de recherche Tokai Tokyo, certains parmi les nombreux Chinois qui se promènent dans le Tokyo Motor Show "sont probablement des constructeurs et des équipementiers qui n'ont pas les moyens d'acheter les voitures. Ils prennent des photos méticuleusement, dans l'espoir de fabriquer des produits similaires". Mais les Japonais ont eux aussi bâti leur industrie automobile en espionnant leurs rivaux.

    Suzuki une des monstre de l'époque les meilleurs motos au monde!

    Il est indéniable que les constructeurs japonais ont copié leurs concurrents étrangers dans le passé, car ils étaient très en retard" au sortir de la Seconde guerre mondiale, copier est la meilleure façon de regagner le temps perdu. Mais comme vous pouvez le voir on y arrive à de bons résultats.

              

    Les fameux distributeurs automatiques:

    Distributeur automatique de pélicules photos

    Au Japon il y a dans les rues, gares, sation de métro, des distributeurs automatiques, de boissons non alcoolisées, de riz, cigarettes, film pélicules photos et certains sont de véritables sexshop! comme les distributeurs de gadjets sexuels, "livre pornographiques et manga classé X!

    Distributeur automatique de cartes téléphoniques

    Distributeur automatique de DVD de films et manga X

    Distributeur d'objets sexuels de tous genres comme vous pouvez le voir

    Un autre du même genre que si dessus

    Distributeur de cigarettes je les ai tous pris car ces distributeurs sont trop spécial!

    mais les plus populaires sont les distributeurs de petites culottes, string usagée ou les Japonais s'arrachent les ventes. Pouquoi ces distributeurs insolites? simplement parce que les Japonais notament les ados sont trop timides pour téléphonné au téléphones rose ou simplement pour aller sur place dans un sexshop, intimider pas le regard des gens et de la caissière par exemple...les Japonais aiment les petites culottes usager car ça leurs rappellent les jeunes écolières et ou à cause de la loi de leur gouvernement très stricte : avec l'article 175 du Code Criminel Japonais, les poils pubiens et les parties génitales adultes ne peuvent être montrés, et la représentation de bas-ventres se touchant est interdite.

    Résultat, depuis son instauration en 1946, cette législation a sans doute opéré chez les japonais (par un effet pervers) un report de charge érotique de l'objet que l'on ne peut voir (le sexe) vers la culotte, elle tout-à-fait montrable.

    Ceci étant, je tiens à rassurer tout de suite ceux qui s'inquièteraient de l'avenir d'un pays dont les habitants auraient une libido tournée uniquement vers la lingerie féminine. Les japonais continuent à s'intéresser à la chair, et les censeurs ont encore du travail.

    Mais ils ne sont pas tous attirés par ces petites culottes une majorité seulement, c'est comme le bondage ou le Japonais attache une femme de la tête au pied avec une corde main derrière le dos rejoignant les pieds, du pure sadomasoshisme, ils en font des manga films érotiques pour présiser la femme à une balle dans la bouche aussi, cela est un simple principe de domination sans doute.

    Les affiches de misent en garde!

    je suis tombé sur une affiche pour le moins édifiante : le propriétaire de l'endroit informait ses honorables clientes de faire attention aux individus louches, car des vols de sous-vêtements avaient récemment eu lieu. sans doute. pour les distributeurs pornos

    je trouvais choquant la quantité de manga pornographiques que l'on pouvait trouver dans le moindre combini, entreposés sur les étagères les plus proches du sol à portée des enfants, alors que nos buralistes auraient plutôt tendance à leur choisir les emplacements les plus élevés.

    Ceci dit, il faut se rendre à l'évidence que chacun respecte la loi avec des degrés divers. Certains magazines se font fort de l'appliquer à la lettre, et leur pages sont parsemées de personnages dont la région pubienne reste d'une blancheur virginale, les scènes explicites devenant de fait d'étranges séances de mime.

    D'autres publications ont recours à une bande (sensément) opaque pour (supposément) masquer les zones incriminées et préserver les bonnes moeurs. Cependant, on constate parfois que la bande en question est plus grisée qu'opaque, et que ses dimensions sont sans doute beaucoup trop réduites (au vu de la physionomie des personnages) pour qu'elle cache effectivement quoi que ce soit. Bref, on voit tout ce qu'il y a à voir, mais la morale est sauve. De justesse.

    Pour les films pornographiques, par contre, pas question de clémence ou d'à-peu-près. Le moindre petit bout de sexe se voit irrémédiablement censuré, systématiquement mosaïqué, impitoyablement réduit en bouillie visuelle. Et lorsque le réalisateur se décide pour un gros plan anatomique (grande spécialité de ce genre de films), c'est tout l'écran qui se couvre de gros carrés couleur chair, où l'on peut vaguement discerner du mouvement. Du porno sans « graphique », en quelque sorte.

    Puisque l'on ne peut trouver de grand intérêt à ces images dépouillées de leur charge défoulatoire, le spectateur se voit obligé de reporter son attention sur le scénario et le jeu d'acteurs. Deux points forts du cinéma X, comme chacun sait. Le film se transforme alors en un objet étrange et malsain, ponctué par les cris d'actrices dont on ne sait s'ils sont dûs au plaisir ou à la douleur.

    Cette pratique de la mosaïque n'est cependant pas restreinte aux films que l'euphémisme qualifie de « pour adultes », et il arrive que le visionnage d'un film tout ce qu'il y a de plus « normal » soit parasité par l'application intempestive d'une grosse zone floue pour cause de nudité inconvenante. Assez désagréable, il faut le dire.

    Il reste néanmoins un domaine où la mosaïque ne peut agir – et pour cause. J'ai nommé les revues en provenance de l'extérieur, où de jeunes femmes allongent leur nudité sur du papier glacé pour le plaisir des yeux (c'est une vision poétique des choses ...). Fort heureusement, les douaniers japonais ouvrent l'oeil pour empêcher d'une main de fer tout traffic illicite de matériel jugé obscène (les autres « substances » interdites étant la drogue et certains produits alimentaires), alors qu'une section spéciale du Ministère s'occupe de rendre convenables les « importations régulières ».

    Dans ce dernier cas, la solution du « coup de marqueur » sur les zones offensantes a été abandonnée (après tout, on pouvait encore discerner quelque chose par transparence) au profit du grattage à la lame de rasoir. Il y a donc, dans l'administration japonaise, toute une section de fonctionnaires (forcément) de confiance dont le travail (épanouissant, cela va sans dire) est de gratter consciencieusement toutes les entrejambes exposées.

    On imagine ensuite les-dits fonctionnaires discuter travail lors de la pause de midi, échanger quelques anecdotes croustillantes autour d'une bière le soir, avant de rentrer à la maison retrouver leur femme qui leur demandera sans doute : « alors, comment s'est passée ta journée ? ». Surréaliste.

    Mais l'on peut se faire du souci pour l'avenir de ces fonctionnaires très spéciaux. En effet, la censure japonaise est en train de s'assouplir, vu qu'en 1996, la représentation des poils publiens est devenue tolérée. Les nouveaux films bénéficiant de cette clémence affichaient alors haut et fort un « On voit les poils ! », et l'on voit mal comment le plus réticent des consommateurs aurait pu résister.

    De là à ce que la fascination des japonais pour les sous-vêtements féminins ne soit plus qu'un souvenir pittoresque, il n'y a qu'un pas.

                        

    La tour de tokyo

    Tour de télévision construite en 1958 qui du haut de ses 333m dépasse la tour Eiffel, son modèle, montée aux 2 plates-formes situées à 150m et 250m, tous les jours de 9h à 20h en août jusqu'à 21h, du 16novembre au 15 mars jusqu'à 18h, dans l'édifice construit au pied de la tour, on trouve un cabinet de figurines de cire et une exposition permanente des plus récents appareillages électrique (appelé Musée moderne des Siences au 4e étages.

    Lundi 10 Juillet : cours le matin, dur dur surtout après un week-end chargé et des nuits courtes depuis déjà 10 jours. J'y suis allé après les cours avec des amis de mon amie.

    Ticket d'entrée et ticket de caisse :             Le fascicule :
                                                                      on nous le donne quand on entre.
       
     
     
    Les photos de la tour de Tokyo de nuit
      
     
      

    Vues de la tour de Tokyo :

     

     

     

    Quand j'y suis allé, nous avons descendu la tour par les esacaliers. Et Deux amis se sont amusés à compter les marches. En bas de la tour en plus de ce que j'ai écris plus haut, il y a également une salle d'arcade, petite mais y en a une. Et des boutiques de souvenir et des restaurants. Une des boutiques était vraiment très bien et on n'y a passé quelques temps à tout regarder.un pure moment!

     

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